samedi 29 octobre 2011

Il n'y a que les nuages qui pleurent

Comme c'est particulier de relire ça, aujourd'hui, alors que dans à peine une heure, cela fera 4 mois que nous sommes officiellement ensemble. Je peut le dire, au jour d'aujourd'hui, je suis vraiment bien, réellement. Derrière nous cette souffrance, et qu'elle y reste surtout. Quel bonheur, toi et moi, Nous. On a réussit à passer au dessus de tout cela, d'être plus fort finalement.
On aura trimé pour en arriver là, à cette sérinité, à cet amour. Avec ce qu'on a pu traverser, je suis aujourd'hui persuadé de vouloir t'accompagner dans chacun des moments de notre vie. Je veux me réveiller auprès de toi, jusqu'à notre dernier jour. Tony, l'amour que je te porte est gigantesque. Tu es le seul remède à mes blessures. Je t'aime au delà de tout, et quel bonheur Tony, quel bonheur...

samedi 31 juillet 2010

It's a new day


Au départ, c'était un jeu, le regard, si magique en fait. Parfois, à trop jouer on se brûle, tendrement. Je t'ai longuement observé, adoré... Tu étais somptueux tu sais, innocent, et brûlant à la fois. On s'est promis l'histoire, je t'ai promis ma vie, j'étais folle de toi, d'un amour éternel, et éphémère pour moi, avait perdu son sens. J'aurai aimé me consumer près de toi, dans tes bras. Brisant les interdits, excitant et effrayant, je ne respirai que pour ça. J'aurai pu vivre de toi, me perdre dans tes yeux comme à la première fois. Je savais que notre histoire était impossible, j'en étais intimement convaincu, tu sais? Simplement, tendrement, je t'embrasse, c'est la fin.
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Love truly, kiss slowly, forgive quickly.
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mardi 16 février 2010

S'engager corps et âme.


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Il existe un nombre effrayant d'addiction en tout genre.
Ce serait trop facile si on s'accoutumait qu'à la drogue,
à l'alcool, et aux cigarettes. Je crois que le plus dur, pour
se débarrasser d'une mauvaise habitude, c'est de vouloir s'en
débarrasser. Je veux dire, quand on devient accro, c'est qu'il y a
une raison, non ?Souvent, trop souvent, certaines choses qui
prenaient une place normale dans notre vie, deviennent envahissantes,
ça vire à l'obsession. C'est compulsif, incontrôlable.
C'est l'état d'euphorie qu'on cherche à atteindre, ce vertige délicieux,
grisant, qui nous fait oublier tout le reste.
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mercredi 3 février 2010

Je plane au bord du précipice



Paradoxalement, la première fois que je t'ai vu, je n'aurai jamais cru qu'un jour tu deviendrai l'intérêt propre de mon existence. Tu me faisais rire pendant des heures, chaque minutes près de toi, étaient aussi précieuse les unes que les autres. Je savais que notre relation était impossible, j'en étais intimement convaincu, tu sais.